À sa mort, le moderne ne va pas en enfer mais il rejoint tout droit le paradis des modernes, un lieu d’absolue diversité où chacun, en permanence exposé à tous les regards, doit se comporter comme l’exige le consensus général, et cela jusque dans ses plus infimes pensées.
Toute déviation à l’encontre de l’opinion le précipite en enfer où Satan lui sert un verre en causant du temps qu’il fait. Qu’il se garde bien d’accepter ! Un échange avec le bougnat maléfique l’empêcherait de retourner s’offrir aux regards et aux jugements de la multitude.
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