À sa mort, le néo-féministe post-moderne ne va ni en enfer, ni au paradis mais s’éveille à sa vraie vie. Il rejoint une immense, voire infinie galerie des glaces où chaque miroir, subtilement déformant, peut élargir une pommette, allonger légèrement le nez, incurver doucement la bouche, et ainsi de suite. Peut-on seulement concevoir les délices éternelles dans lesquelles il est ainsi plongé ?
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